La transition énergétique est une préoccupation majeure de l’État et les acteurs communautaires en vue des grandes réformes qu’elle renferme. Sur ce, la justice et la protection des droits humains, sont les principaux facteurs les plus déterminants pour assurer la bonne gestion des risques.
À l’hôtel Axil de Dakar, ce mercredi 2 octobre 2024, un atelier de partage sur l’inclusion transparente de la justice dans la transition énergétique basée sur une capitalisation annuelle de la réflexion portant sur la régulation des avantages générateurs de risques et conséquences dévastatrices autour de la question de droits humains et règlements juridiques. Sur ce, la place de la justice et les droits communautaires forment une entité et les différents axes d’échanges de cette conférence de partage, organisée par la fondation (HBS) et (Natural Justice) et ses partenaires privilégiés.
La place de l’homme, la protection de son bien-être, sont des éléments nécessiteux pour une vertueuse gestion de cette ladite transition. Parce que cette dernière peut innover le secteur d’emploi par des nouveaux emplois notamment l’emploi vert réglant quelques préoccupations des jeunes, entraînant une réduction de pollution et une décentralisation de l’énergie au niveau local. C’est dans cette attente que l’atelier vise à garantir une meilleure prise en compte des priorités communautaires dans le débat public et décisions sur la question.
Accouplant le secteur public et privé issu des différents acteurs étatiques et non-étatiques, optant des résultats, dont la notion de justice proprement dite, étant objet de débat de façon technique et scientifique. Le Sénégal avec son nouveau régime en exercices, la Fondation( HBS )et le (Natural Justice ) et ses partenaires privilégiés, engagent des réformes systémiques face à la transition énergétique.
Papa S Traoré
Laisser un commentaire