L’arnaque politique des citoyens s’accroît de façon chimique. En effet, d’énormes compatriotes ne savent pas lire l’illisible, ne font pas d’effort de lecture accommodante et ne pensent que tout est ABC. Un cercle manipulable, à côté de ce groupe conscient, beaucoup sont inaptes de pouvoir déchiffrer les manipulations, les mensonges, la supercherie et la tricherie des beaux parleurs, usurpateurs politiques. Alors où seront classés les inconscients citoyens qui ne savent ni lire ni décoder les chiffres illusoires.
Depuis Mathusalem, les politiques politiciennes arnaquent les générations par leurs fameux discours masqués de poussière et de dictature de croire les non-dits encore moins les »pour ne rien dire’’ . À l’approche des élections, la demande est supérieure à l’offre, c’est-à-dire les prix de mensonges augmentent et la médiocratie s’annonce sur le marché mécanique. Vers la population notamment la jeunesse, cible potentielle, tout genre de discours cherche à accrocher la vision des jeunes rêveurs, une génération inconsciente dirigée par la promotion du j’menfoutisme et du »y’en a marrisme » . Après les élections, la tendance se renverse et s’approprie du maintien strict du pouvoir. N’invente rien, c’est le lendemain de la prise. Une trahison arbitraire, participative, incarnée par l’anticipation de prise sans aucune base de connaissances ni trésor de compétences.
Dans cette perspective, la coupure immédiate du cordon ombilical devient une demande sociale très élevée moralement et juridiquement. Entre les pouvoirs et les faibles, autrement dit les arnaqueurs politiques et les inconscients citoyens, des cordons facilitateurs se réunissent, cependant, les symboliques et la victimisation, deux outils utilisés pour récupérer l’énergie citoyenne. La manipulation symbolique a toujours trahi le peuple souverain. Certes, c’est de la science politique dans le langage, pourtant l’éthique et la dignité sont plus que pertinentes en politique. Quant à la victimisation, un moyen classique très aimé par les systèmes politiques, car la socio-antropologie du Sénégal prouve scientifiquement que le Sénégalais n’aime pas l’injustice, il ne maîtrise pas techniquement ses émotions, il aime défendre le faible sans aucun prix.
En revanche, des nouveaux types de la masse, soucieux des préoccupations majeures de la société de la teranga, avec détermination veulent mettre les points sur les (i) mais malchanceux, la société n’est pas sur le point de mettre les accents sur les lettres. néanmoins, Il n’est pas question de faire de la politique dogmatique pour changer les vies et vues socioéconomiques, mais les moyens et instruments hors politiques sont de surcroît plus crédibles, plus importants à traiter les cruciales. En tant que journaliste, je reste sceptique parfois nihiliste aux acteurs politiques.
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